Résultats de recherche pour “James Ensor” 1 à 30 (36)

Le Parapluie de James Ensor

La rencontre entre Einstein et Ensor en 1933, vue par le peintre...

James Ensor : à Bruxelles

Mettre en lumière les rapports qui se sont tissés entre James Ensor (1860-1949) et Bruxelles, alors qu’on ancre volontiers le peintre à Ostende, c’est…

James Ensor

Le poète belge E. Verhaeren (1855-1916) explore l'œuvre de son compatriote, le peintre et graveur J. Ensor (1860-1949), alors que ce dernier est encore relativement méconnu. Un témoignage…

James Ensor à Bruxelles

Mettre en lumière les rapports qui se sont tissés entre James Ensor (1860-1949) et Bruxelles, alors qu’on ancre volontiers le peintre à Ostende, c’est le…

Que tombent les masques

Max Kevlar, détective privée, est lancé sur les traces d'un tableau de James Ensor, disparu de la collection d'un industriel bruxellois.L'enquête s'annonce sans risque,…

Cinq jours de bonté

Thomas Noble, le narrateur, emmène sa femme Raya à Ostende. Une permission de cinq jours lui est accordée. Hospitalisée dans une clinique spécialisée, c’est sa première…

Sacrée Zoé

Et revoici l'un des illustrateurs que nous préférons en ce moment, Carll Cneut. Enfin, les éditeurs français s'intéressent à son travail et coup sur coup paraissent plusieurs de ces…

Coq-sur-Mer 1933

Lorsque Hitler accède au pouvoir en Allemagne, le 30 janvier 1933, Albert Einstein s´inquiète que ses travaux ne tombent pas entre les mains des nazis. Il se réfugie, avec son épouse et leur…

Stella Maris

Comment saisir la singularité de la Mer du Nord sans s’immerger dans le premier couplet du Plat Pays de Brel ? Comment toucher sa poésie en se gardant de prolonger les lignes de fuite humides…

Solitude Europe

Rares sont les livres de poésie qui affrontent explicitement les aspects ingrats de la vie contemporaine, qu’ils soient bénins ou dramatiques : attente du bus, passager clandestin…

La passion du diable

Dans un asile de fous, lors d'un bal costumé, la fête se mue en exorcisme. Méphisto-Christ tombe amoureux de Marie-Madeleine et meurt en martyr. C'est la Passion…

Les Carnets du Roi

Nous sommes en 1903. Un scandale d’une ampleur inédite secoue la Belgique, le France, et les pays voisins. Les Carnets du Roi , un ouvrage publié anonymement à Paris, et rapidement…

Dictionnaire amoureux de la Belgique

Le principe de la collection « Dictionnaire amoureux » chez Plon est bien connu : il est demandé à un spécialiste,…

Léopold II.

Avec la bouille en poire de Louis-Philippe en France, le faciès royal qui inspira le plus volontiers la presse satirique du XIXe siècle fut celui de Léopold II. Déclinée en…

Solitude Europe

Rares sont les livres de poésie qui affrontent explicitement les aspects ingrats de la vie contemporaine, qu’ils soient bénins ou dramatiques : attente du bus, passager clandestin…

Bruxelles en cheminant sur la ligne du temps

L’histoire de Bruxelles déroulée en chapitres courts, depuis 4000 avant notre ère, sous la forme d’un site néolithique…

Cinq jours de bonté

Thomas Noble, le narrateur, emmène sa femme Raya à Ostende. Une permission de cinq jours lui est accordée. Hospitalisée dans une clinique spécialisée, c’est sa première…

Dictionnaire amoureux de la Belgique

Le principe de la collection « Dictionnaire amoureux » chez Plon est bien connu : il est demandé à un spécialiste,…

À mi-chemin entre Amsterdam et Paris, Septentrion, 50 ans de relations culturelles néerlandophonie - francophonie

En 2021, Septentrion fête son 50e anniversaire . Une publication de culture générale concernant le monde néerlandophone, mais dans la langue et à destination du voisin: c’est ce qui rend Septentrion unique. La revue a grandi, mûri, est devenue adulte, mais il y a eu constamment du mouvement à l’arrière-plan. Histoire, non seulement d’une revue, mais tout autant des relations culturelles, jalonnées de temps forts et de creux, entre la néerlandophonie et la francophonie. * Le succès d’une publication se mesure-t-il aux lieux où elle est l’objet de toutes les louanges? Peut-être bien. Le 18 mars 1981, le Flamand Jozef Deleu était l’hôte des salons de l'hôtel du Petit-Luxembourg à Paris, la résidence du président du Sénat Alain Poher. Étaient notamment présents Sadi de Gorter, premier directeur de l’Institut Néerlandais de Paris et ami fidèle de Deleu, et une brochette de hauts dignitaires de France, de Belgique et des Pays-Bas. Pas moins de quatre cents personnes ont assisté à la remise du prix Descartes à Deleu par Louise Weiss. La distinction était attribuée par l’Association France-Hollande, un organisme qui s’était assigné pour mission de promouvoir les liens culturels entre la France et les Pays-Bas. Son président, l’ancien préfet Yves Cazaux, s’est livré à un vibrant éloge de Jozef Deleu, qui, à la fois fondateur et rédacteur en chef de Septentrion. Revue de culture néerlandaiseXX , méritait ce prix plus que personne d’autre. Le premier numéro de Septentrion était paru en 1972. Deleu, fils d’une mère flamande et d’un père français, avait placé en exergue de son avant-propos une citation de Paul Valéry: “Enrichissons-nous de nos mutuelles différences”. Septentrion, revue de culture genérale, entendait offrir trois fois par an une information de qualité sur l’aire linguistique néerlandaise (soit les Pays-Bas et la Flandre, partie néerlandophone de Belgique) et mettre en évidence les influences réciproques entre la néerlandophonie et la francophonie. Avec Septentrion, Deleu n’en était pas à ses premières armes. En 1957 déjà, il avait fondé la revue Ons Erfdeel (à présent de lage landen), qui allait bientôt s’affirmer comme l’une des principales publications périodiques de culture générale en néerlandophonie. Le tout premier numéro portait d’ailleurs le titre Ons Erfdeel - Notre Patrimoine. Ce choix initial d’une édition bilingue trahissait le vif intérêt de Deleu pour la Flandre française. La rapide progression de Ons Erfdeel doit avoir été une surprise pour Deleu lui-même. Il était instituteur depuis de longues années, mais il quitta l’enseignement pour porter la Stichting Ons Erfdeel (Fondation Notre Patrimoine) sur les fonts baptismaux. Deux ans plus tard, en 1972, la fondation entamait la publication de Septentrion. L’immeuble construit pour la fondation est situé à Rekkem, en Flandre-Occidentale, à même la frontière franco-belge et juste à mi-chemin entre Paris et Amsterdam. Les choses bougent Nous pouvons dire aujourd’hui que Septentrion est né à un moment-clé. Un moment où le renforcement de l’autonomie culturelle des différentes communautés linguistiques de Belgique au sein du pays a engendré en Flandre un besoin accru de collaboration avec l’étranger. Quasi automatiquement, la Flandre s’est tournée en premier lieu vers les Pays-Bas. Le rapprochement avec le Nord a mené en 1980 à la création de la Taalunie, organe officiel qui allait développer une politique stimulante pour le néerlandais aux Pays-Bas et en Flandre (et, plus tard, également au Surinam) et se vouer au soutien du néerlandais dans le monde. L’année suivante s’ouvrait à Amsterdam la maison culturelle flamande De Brakke Grond. Sous l’impulsion, entre autres, de la Fondation Notre Patrimoine, des voix se sont également manifestées en faveur du développement d’un rapprochement culturel et d’une coopération avec d’autres pays. En Flandre (d’abord essentiellement dans la sphère privée, puis aussi dans une partie du monde politique), il apparaissait de plus en plus évident que des relations de bon voisinage sont primordiales pour une communauté de langue et de culture. Le plus proche voisin était la francophonie, elle méritait la priorité. De plus, la fixation de la frontière linguistique en Belgique (1963) avait atténué la crainte de l’impérialisme francophone. C’est dans cette atmosphère et ce contexte que Septentrion a vu le jour. Suspendus aux lèvres de Hugo Claus Éditer une revue en français sur les Pays-Bas et la Flandre, cela n’en restait pas moins une entreprise téméraire. Mais Deleu a su rallier à sa cause aussi bien des traducteurs talentueux que d’éminentes personnalités des sphères académique et sociétale belges et françaises pour constituer le comité de conseil. La rédaction ne comprenait pas seulement des Flamands, mais aussi, notamment, un Français et deux Néerlandais. La revue pouvait dès lors démarrer sur de bonnes bases. En feuilletant aujourd’hui les premières années de parution, on ne s’étonnera pas du succès de Septentrion. Dans la ligne de son objectif culturel au sens large, la revue offrait d’emblée une mine d’informations sur la littérature, les arts plastiques, une grande variété d’autres disciplines artistiques et des sujets sociaux d’intérêt général. Ces informations prenaient forme dans des articles de fond, mais aussi, au fil du temps, dans des textes plus courts en prise sur l’actualité. Une intéressante trouvaille a été celle des «lettres flamandes et néerlandaises», rendant compte, chacune à sa manière, de la vie culturelle et des thèmes généraux de société. À la fin des années 1970 paraît la première des “chroniques” pleines de verve de Sadi de Gorter. Ce compagnon de la première heure, passeur de cultures s’il en est, allait publier une “chronique” dans chaque numéro et ne s’arrêter que peu avant sa mort en décembre 1994. À partir de 1986, Septentrion a paru non plus trois, mais quatre fois par an. La rédaction a réussi à s’attacher davantage de plumes de qualité, auteurs et critiques qui (principalement dans le monde néerlandophone) jouissaient d’un grand renom. La presse française ne demeurait pas insensible aux objectifs de la revue et à sa haute tenue. Libération voyait en Septentrion “une contribution directe à la bonne entente entre les peuples dans le cadre d’une Europe un peu plus unifiée chaque jour”. En même temps paraissaient de plus en plus souvent des numéros plus volumineux dans lesquels un thème déterminé était présenté de manière approfondie. Quelques exemples au hasard: des numéros thématiques consacrés à la poésie contemporaine, tantôt néerlandaise, tantôt flamande, un autre à James Ensor, un autre encore à la Grande Guerre. Au début du XXIe siècle ont notamment paru des numéros thématiques sur l’Escaut et la Meuse, un sur le Québec et un sur les relations entre les Plats Pays et Paris. Ces deux derniers exemples nous amènent à une période où Jozef Deleu a cessé d’être le rédacteur en chef, Luc Devoldere ayant pris sa succession en 2002. Les numéros thématiques ont couramment donné lieu à l’organisation de soirées culturelles, souvent dans des salles de prestige ou autres lieux réputés, comme l’ Institut Néerlandais à Paris, le Théâtre de la Monnaie à Bruxelles, l’Opéra royal de Liège ou le Théâtre royal de Namur. Ces soirées ont toujours suscité un vif intérêt et ont, à l’occasion, été rehaussées par la présence de sommités. L’affiche n’était évidemment pas étrangère à cet engouement, notamment lorsqu’elle comportait des noms dont la réputation avait gagné la francophonie, tel l’écrivain Hugo Claus (1929-2008), venu en personne à diverses reprises donner lecture de quelques-uns de ses poèmes en traduction française. Chaque fois, l’assistance était suspendue à ses lèvres. Une excursion dans le nord…

Trinquons au lancement de TRINKHALL Museum!

Le Parc d’ Avroy , à Liège, s’en trouve tout réjoui. Son nouveau musée Le Trinkhall museum, anciennement MADmusée,…